2 octobre 2015, par l’incongru
Il est des écrivains dont la prose a ceci de saisissant qu’elle vous réveille la nuit comme vampirisé par les belles-lettres mais avec la ferme intention de ne jamais en finir avec cette ivresse. Alors plus prosaïquement l’on se rendort sans avoir achevé l’œuvre, car il faut bien dormir n’est-ce pas ? L’allusion, vous l’aurez compris, n’était pas destinée aux délires irrévérencieux dont l’incongru aime à se répandre à doses homéopathiques sur le Net mais bien à un écrivain tel que rares le sont. A l’issue de (...)